SMICTOM (Syndicat Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères)

 

La commune dépend du SMICTOM de la Bièvre

Le territoire

Le SMICTOM (Syndicat Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères) de la Bièvre a été créé en 1980 et regroupe 4 Communautés de Communes (88 communes et plus de 105 000 habitants). Le SMICTOM a pour objectif de mettre en œuvre une gestion globale et moderne des déchets ménagers, dans le respect de l’environnement et en conformité avec la règlementation en vigueur.

Le SMICTOM assure :
• la collecte sélective en points d’apport volontaire,
• le tri des déchets à recycler,
• le traitement des ordures ménagères et des encombrants de déchèteries

• le tri des déchets à recycler,

Plus d’infos sur le site du SMICTOM

Calendrier des passages “ramassage ordures ménagères” :

Les jeudis des semaines impaires :

 

Juillet – Août : toutes les semaines

 

Numéro à contacter pour toute info sur votre conteneur “poubelle” et (ou) votre carte de déchetterie : 04 74 84 67 29

Rappel sur les déchets à ne pas mettre dans vos poubelles

Produits chimiques et matériaux de rénovation : Les peintures, dissolvants, produits de nettoyage agressifs, adhésifs, lasures et solutions pour traiter le bois ne peuvent être mis aux ordures classiques. Ces articles renferment souvent des composés dangereux ou combustibles susceptibles de nuire à l’atmosphère, au terrain et aux nappes phréatiques en cas de mauvaise gestion. Leur destination appropriée reste la déchèterie ou les espaces spécialisés dans la récupération des matières dangereuses, garantissant un processus adapté pour protéger la santé publique et la nature.

Résidus de construction et débris : Les restes de petits chantiers tels que briques cassées, fragments de toiture, morceaux de céramique, résidus de plâtre ou blocs de ciment brisés doivent éviter la collecte domestique habituelle. Ces éléments massifs et encombrants risquent d’abîmer les conteneurs et les machines de ramassage. Leur place se trouve à la déchèterie, dans les zones dédiées aux matériaux non organiques, permettant ensuite leur tri et éventuelle transformation pour servir de base dans les projets d’infrastructure.

Résidus de jardinage volumineux : Les coupes d’arbustes, rameaux issus de l’élagage, bois mort, souches importantes ou tas conséquents d’herbe coupée n’ont rien à faire dans le bac à ordures habituel. Ces volumes saturent rapidement les conteneurs et compliquent la gestion des déchets courants. Leur destination naturelle reste la déchèterie, dans les espaces végétaux prévus, ou les installations de transformation en paillis quand elles existent localement. Leur conversion en amendement organique ou couverture végétale évite les feux de jardin et nourrit utilement la terre.

Objets volumineux et ameublement usagé : Les anciennes armoires, literies, structures de lit, gros équipements ludiques, revêtements de sol ou pièces décoratives imposantes ne trouvent pas leur place dans les poubelles standard, quelle que soit leur condition. Leur gabarit et leur masse compliquent la récupération et peuvent perturber les installations de traitement. Ces articles doivent rejoindre la déchèterie ou être collectés lors des ramassages spéciaux organisés périodiquement. Certaines pièces peuvent connaître une nouvelle existence ou être transformées, diminuant ainsi le volume final à éliminer.

Tissus, linges domestiques et articles chaussants : Les habits, pièces de literie, voilages, linges éponge, plaids et souliers, même détériorés ou partiellement usés, ne rejoignent pas la collecte ordinaire. Ils trouvent leur place dans les bornes de récupération textile, à la déchèterie ou auprès d’organismes solidaires qui les récupèrent. Une proportion sera remise en circulation ou commercialisée, tandis que le reste connaîtra une transformation en matériaux d’essuyage, isolants thermiques ou nouvelles fibres. Ce tri spécifique allège les tonnages et offre une nouvelle utilité aux matières.

Installations d’énergie renouvelable : Les panneaux captant l’énergie solaire et les systèmes autonomes faciles à installer ne doivent jamais rejoindre les ordures domestiques, car ils comportent des circuits électroniques, des pièces électriques et parfois des éléments préjudiciables à l’écosystème si leur traitement final n’est pas correctement organisé. Les équipements arrivés en fin de vie, comme certains kits solaires Plug and Play avec batterie proposés sur la plateforme en ligne solarchoc.com, doivent être remis en déchèterie, confiés à un technicien spécialisé, à un revendeur qui assure la reprise ou à un organisme de récupération qualifié. Ces dispositifs seront ensuite pris en charge par une industrie de récupération spécialisée qui sépare, classe et récupère chaque élément de manière écologique.

En orientant chaque nature de résidu vers le circuit adapté, la sauvegarde environnementale se trouve renforcée et la qualité du territoire préservée, car les contaminations diminuent et la récupération des matières premières s’optimise. Ces habitudes accessibles de séparation et d’apport permettent à tous de s’engager concrètement, au fil des jours, dans la défense de leur territoire, de ses espaces naturels et de ses richesses écologiques.